Lorsque la 'Cité du Soleil' d'Akhenaton fut mise au jour à Tell el-Amarna en 1912, on découvrit dans l'atelier de Thoutmosis cet impressionnant buste du pharaon. Original : Staatliche Museen zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz. Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1345 av. J.-C. Réplique polymère ars mundi du musée, moulée et peinte à la main. Hauteur avec socle 35,5 cm.
Le monde entier a vibré lorsque Howard Carter a finalement annoncé le 4 novembre 1922 la découverte de la tombe intacte de Toutânkhamon. Et le résultat fut époustouflant : plus de 5.000 objets individuels, de magnifiques objets funéraires en or pur, mais surtout le légendaire masque mortuaire du jeune pharaon furent la récompense d'efforts considérables. La momie de Toutankhamon, entièrement bandée de bandelettes de lin, portait ce masque en or pur sur la tête et les épaules. Original : Musée égyptien, Le Caire, Trésor de Toutankhamon, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Masque facial en or pur, pesant 2,27 kg. Réduction . Réplique polymère de musée ars mundi moulée et peinte à la main et dorée. Face avant du masque sur socle. Hauteur, socle compris : 27 cm.
ars mundi présente une réplique de haute qualité, fidèle aux détails, du masque de Toutankhamon sous forme de réduction maniable de taille optimale pour une présentation sur table ou sur étagère. Chaque pièce a été coulée à la main, dorée et peinte à la main avec du métal battu.Original : Musée égyptien, Le Caire, Trésor de Toutankhamon. Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Réplique polymère de musée ars mundi, coulée à la main, peinte et dorée à la main. Format 16,5 x 24 x 20 cm (L/H/P). Poids : 5,5 kg. Travail entièrement tridimensionnel.
Elle prend soin des morts avec ses sœurs Isis, Nephtis et Neith. Les quatre déesses protectrices gardaient le sanctuaire contenant les entrailles de Toutânkhamon momifié. Elles étaient chargées de protéger le pharaon dans l'au-delà et d'écarter les dangers qui le guettaient. La sculpture de la déesse protectrice Selket est l'une des plus magnifiques créations de l'art d'Amarna. Sur sa tête, elle porte le scorpion, symbole de magie et de guérison. Traduit, son nom signifie 'celle qui fait respirer les gorges' - elle est la déesse protectrice des hommes, mais surtout du roi. Original : Musée égyptien, Le Caire. Trésor de Toutankhamon. Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Réplique polymère ars mundi du musée, coulée à la main, dorée à la main. Hauteur avec socle en bois 45 cm.
Un témoignage unique de l'art révolutionnaire de l'atelier de Thoutmosis à Amarna. Néfertiti était l'épouse légendaire du pharaon Akhenaton et la belle-mère de Toutankhamon. La pièce maîtresse de la collection égyptienne des Staatliche Museen, Stiftung Preußischer Kulturbesitz, Berlin. Réplique polymère ars mundi moulée à la main. Peint à la main avec soin dans des couleurs fidèles à l'original. Réduction de la taille. Avec socle en diabase noire. Hauteur 27 cm. Poids 3,5 kg.
Un témoignage unique de l'art révolutionnaire de l'atelier de Thoutmosis à Amarna. Néfertiti était l'épouse légendaire du pharaon Akhenaton et la belle-mère de Toutankhamon. La pièce maîtresse de la collection égyptienne des Staatliche Museen, Stiftung Preußischer Kulturbesitz, Berlin. Réplique polymère ars mundi. Moulée à la main et peinte avec soin dans des couleurs fidèles à l'original. Taille originale. Hauteur avec socle en bois 56 cm. Poids 18 kg.
Constructeur le plus assidu d'Égypte, il a une fois de plus mené l'empire mondial à la gloire extérieure. Conformément à la tradition, il s'est fait représenter sous la forme d'un dieu et d'un souverain idéalisé, éternellement jeune, en granit noir. La main tenant la crosse est serrée dans le poing, la 'couronne bleue' avec le serpent uræus sur le front est modifiée en une sorte de casque de guerre. Mais les traits doux et presque amicaux de son visage indiquent qu'il était un roi de paix régnant depuis longtemps. Original : Museu Egizio, Turin, granit. Lieu de découverte : Karnak. Egypte, Nouvel Empire, 19e dynastie, vers 1250 av. J.-C. Réplique de musée ars mundi en fonte d'art. Hauteur 78 cm, largeur 62 cm, socle 25 x 44 x 6 cm.
L'esquisse en relief, réalisée en couleurs, montre la rencontre d'un jeune couple de rois d'Amarna. La désignation courante des personnes représentées en tant que Semenchkare et Merit-Aton, gendre et fille aînée d'Akhenaton, doit toutefois rester assortie d'un point d'interrogation. Le souverain se tient dans une attitude décontractée, appuyé sur un long bâton, devant son épouse qui lui offre un bouquet de fleurs. Le raffinement de la mode caractérise les vêtements royaux : une perruque bleue à boucles avec des uræus et des bandeaux sur la nuque, un large col et le pagne finement plissé avec une écharpe et plusieurs bandeaux décoratifs. La reine porte une robe ample qui souligne plus qu'elle ne dissimule les formes de son corps. Un col fleuri et une coiffe bleue à double uræus complètent sa parure. Contrairement à son mari, elle n'a pas mis de sandales. Cette scène gracieuse est tout à fait dans le style de la fin de l'époque amarnienne. Original : Staatliche Museen zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz, Ägyptisches Museum. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1340 av. J.-C., pierre calcaire peinte. Réplique polymère du musée ars mundi, moulée à la main, format 24 x 20 cm.
L'importance réelle des courtisans et des fonctionnaires dans l'Égypte pharaonique se reflète dans le privilège d'être "immortalisé", symbole de statut et d'éducation. Comme cette figure de scribe d'Henka, dont la plaque de base sur la face avant enregistre le nom et le titre du maître de la tombe. Original : Staatliche Museen zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz, Ägyptisches Museum. Ancien Empire, 5e dynastie vers 2400 av. J.-C., pierre calcaire. Réplique polymère du musée ars mundi moulée à la main. Format 40 x 32 x 30 cm (h/l/p).
La partie supérieure d'une statue montre la coiffure de princesse avec une perruque à boucles et une tresse sur le côté, rarement attestée dans la peinture circulaire. Le début de la robe finement plissée de cette fille d'Akhenaton, qui sera identifiée comme Anches-en-pa-Aton, est encore conservé. Des yeux maquillés avec raffinement et une bouche au modelé sensible donnent l'impression d'une élégance stylisée. Original : Musée du Louvre, Paris. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1345 av. J.-C., pierre calcaire peinte. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main, hauteur avec socle en marbre 18 cm.
La Tête verte, qui doit son nom à la couleur du matériau utilisé, fait partie des plus grandes réalisations de la sculpture ronde égyptienne de tous les temps. La familiarité de l'artiste avec la structure anatomique de la formation du visage humain, qui s'exprime clairement, est tout aussi unique que la sûreté de sa représentation et de sa transposition dans le langage formel artistique. Malgré cela, il ne faut pas voir dans la Tête verte le portrait réaliste d'un fonctionnaire ou d'un prêtre resté anonyme, mais une tentative réussie de transmettre la profondeur spirituelle et la transcendance de l'être humain. Original : Staatliche Museen zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz. Egypte, période tardive, vers 300 av. J.-C., pierre. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main, hauteur avec socle en diabase 31 cm.
A la fin de l'Ancien Empire, l'espoir de l'au-delà s'est associé à la figure du dieu Osiris. Le souverain mythique de l'au-delà était le 'Seigneur d'Abydos', président du tribunal des morts, et incarnait également la renaissance en tant que dieu de la végétation. Dans les mains de la statue se trouvent ses insignes de souveraineté ornés d'or : la crosse et le fléau. Sur sa tête, il porte la couronne d'atef ornée de plumes. Original : Staatliche Museen zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz, Ägyptisches Museum. Époque tardive, 6e/5e s. av. J.-C. Moulage en métal à patine verte, partiellement doré sur un socle en diabase noire. Format 5 x 19 x 5 cm.
Elle est pour les historiens la clé des mystères de l'Egypte : c'est avec cette tablette que le savant français François Champollion a réussi pour la première fois en 1821 à déchiffrer les hiéroglyphes égyptiens. Sur cette tablette est inscrit un décret des prêtres de Memphis pour le roi Ptolémée V. En égyptien ancien, en démotique, la langue vernaculaire, et en grec. A l'époque, un signe de paix et d'égalité entre les peuples - aujourd'hui, une incroyable aubaine pour les chercheurs. Original : Basalte. British Museum, Londres. 196 av. J.-C., trouvé dans le delta du Nil. Réplique polymère du musée ars mundi, moulée à la main. Réduction. Format 15 x 20 cm.
Le pilier djed, le caractère signifiant 'durée', était considéré comme le symbole du dieu des morts Osiris. L'original : Musée national, Varsovie. Egypte, période tardive, 6e/5e s. av. J.-C. Faïence, hauteur avec le socle 15 cm.
Un presse-papiers de l'époque des pharaons : Est-ce Osiris lui-même dont la main repose sur vos papiers ? Original : MMA, New York. Egypte, début de la période ptolémaïque, env. 300 av. J.-C. Réplique polymère de musée ars mundi, moulée à la main, format 13 x 13 x 8,5 cm.
Les pyramides de Gizeh sont la seule des sept merveilles du monde à avoir survécu jusqu'à nos jours. Surgissant du sol désertique 'en direction du soleil', elles ont été construites comme monuments funéraires des rois-dieux vers 2650-2150 av. J.-C. au prix d'un effort surhumain. Leurs pointes étaient à l'origine recouvertes de plaques d'or. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main et avec une pointe dorée. Format 10,5 x 7,5 x 10,5 cm (L/H/P).
Ce pyramidion, qui constituait à l'origine le sommet d'une pyramide funéraire, provient de la tombe de Bennebensekhauf - un membre influent du clergé thébain. Original : Musée du Louvre, Paris. Pierre calcaire, Egypte, 21e dynastie, vers 1000 av. J.-C. Réplique en résine patinée à la main. Avec certificat d'authenticité. Format 7 x 7 x 7 cm (h/l/p). Poids env. 0,2 kg.
Relief en pierre 'Chouette effraie' : déjà à l'apogée d'Alexandrie, la chouette était considérée comme un oiseau de sagesse. Dans l'Egypte ancienne, de tels reliefs servaient d'objets d'enseignement avec lesquels les sculpteurs devaient prouver leur savoir-faire. Original : Metropolitan Museum of Art, New York. Époque ptolémaïque, vers 150-200 av. J.-C., pierre calcaire. Réplique polymère du musée ars mundi moulée à la main. Avec dispositif de suspension. Format 11 x 10 cm.
Dans l'Égypte ancienne, de tels reliefs servaient d'objets d'enseignement avec lesquels les sculpteurs devaient démontrer leur savoir-faire. Original : Metropolitan Museum of Art, New York. Époque ptolémaïque, vers 150-200 av. J.-C., pierre calcaire. Faucon d'Horus' : en tant que roi des airs, le faucon est l'animal sacré du roi des dieux, Horus. Il est le dieu qui protège la terre de ses ailes. Réplique de musée ars mundi en polymère, moulée à la main. Avec dispositif de suspension. Format 17 x 15 cm.
Dans ce bas-relief, le faucon du dieu Horus se tient au-dessus du signe hiéroglyphique signifiant 'or'. Le nom de Goldhorus faisait partie de la titulature d'un roi égyptien depuis l'Ancien Empire. Original : Museum August Kestner, Hanovre. Époque ptolémaïque, vers 150 av. J.-C., pierre calcaire. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main, format 16 x 14 cm, avec dispositif de suspension.
Le couvercle du canope, magnifiquement sculpté en forme de tête de femme avec un large col, servait à fermer une grande jarre. Au total, quatre de ces canopes en calcite ont été fabriqués pour les funérailles de la reine Kija, une concubine d'Akhenaton. Pour des raisons inconnues, ils ont été réutilisés plus tard - avec quelques modifications de détails - à l'occasion de l'enterrement de Semenchkare, de sorte que le lieu de découverte est la dernière demeure de ce souverain dans la vallée des rois. Original : Musée égyptien, Le Caire. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1340 av. J.-C., albâtre. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main, hauteur avec socle 27 cm.
Ce scarabée très finement travaillé est également appelé 'scarabée du cœur'. La partie plate porte une inscription hiéroglyphique. Les scarabées-cœurs sont apparus au Nouvel Empire comme talismans, placés sur la momie à la place du cœur. Original : pierre noire, Egypte, Nouvel Empire, 18e-20e dynasties, 1550-1070 av. J.-C., Musée d'Aquitaine, Bordeaux. Réplique en résine patinée à la main. Avec certificat d'authenticité. Format 3 x 4,5 x 7 cm (h/l/p). Poids env. 0,07 kg.
Les Égyptiens vénéraient dans le scarabée sacré une incarnation de leur dieu solaire Re. Les grands spécimens, appelés "scarabées du cœur", étaient placés à la place du cœur naturel du défunt. En règle générale, la face inférieure porte une inscription tirée du Livre des Morts, destinée à empêcher que le cœur ne trahisse le défunt devant le tribunal des morts. Les formes peuvent varier d'un cas à l'autre. Original : Staatliche Museen zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz. Egypte, Nouvel Empire, 19e dynastie, vers 1250 av. J.-C., ardoise. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main, longueur 8 cm, largeur 5,5 cm.
Le jeune souverain s'avance vers l'au-delà, tel un dieu. Il porte un pagne à mi-mollet, un large col et des sandales d'apparat. Le fouet, un long bâton et la couronne rouge de Basse-Egypte lui servent d'insignes de la dignité royale. Le modelage souple du corps rappelle encore fortement le style de l'époque amarnienne. Original : Musée égyptien, Le Caire. Trésor funéraire de Toutankhamon. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Réplique de musée polymère ars mundi moulée à la main, plaquée de feuilles d'or 24 carats, hauteur 58 cm.
