Pour broyer et appliquer leurs ingrédients de cosmétiques pour le visage ou le corps, les anciens Égyptiens utilisaient des palettes cosmétiques rondes ou rectangulaires en ardoise. Les formes ont évolué et sont devenues plus sophistiquées vers l'époque protohistorique pour aboutir à des palettes en forme de bouclier. Au 4e millénaire avant J.-C., elles semblent avoir acquis une autre fonction et ont été transformées en objets décoratifs et commémoratifs. Original : ardoise, Egypte, vers 3500 av. J.-C., Musée du Louvre, Paris. Réplique en bronze avec une fine patine, sur un socle en marbre. Avec certificat d'authenticité. Format, socle compris : 19,5 x 3,7 x 18 cm (h/l/p). Poids env. 1,1 kg.
Ce chat accroupi a peut-être servi d'ex-voto à la déesse féline Bastet. Le principal lieu de culte était Bubastis, dans le delta oriental. L'historien grec a transmis une image vivante des fêtes et des célébrations du culte. Original : Musée égyptien, Le Caire. Époque tardive. Vers 500 av. J.-C. Moulage en métal finement patiné. Hauteur avec socle 10 cm.
Des vases de donation dans les mains, Thoutmosis IV s'agenouille humblement devant les dieux. Sur son front, le serpent uræus, symbole de son pouvoir et déesse protectrice, est assis sur le tissu de la tête du roi. Original : British Museum, Londres. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1420 av. J.-C. Moulage en métal, patiné, hauteur 14 cm.
Dans l'attitude classique du lettré, le fonctionnaire, qui sait lire et écrire les signes divins, est assis sur une base rectangulaire et regarde, la tête légèrement inclinée, son rouleau de papyrus sur lequel il a écrit. Détail de la statuette 'Le scribe Nebmertuf devant le dieu Thot'. Original : Musée du Louvre, Paris. Ardoise, Egypte, Nouvel Empire, 19e dynastie, vers 1370 av. J.-C. Réplique en résine patinée à la main. Avec certificat d'authenticité. Format 12 x 6,5 x 7 cm (h/l/p). Poids env. 0,3 kg.
Ce sphinx qui inspire le respect veillait autrefois devant le portail du palais du roi Nectanébo. Son foulard royal plié se termine par des pattes de poitrine. Il porte une barbe de cérémonie artificielle attachée au menton et, au-dessus du front, le cobra comme animal héraldique et insigne royal. Original : Musée du Louvre, Paris. Granit, Egypte, 30e dynastie, vers 350 av. J.-C. Réplique en résine patinée à la main. Avec certificat d'authenticité. Format 11,5 x 5 x 16,5 cm (h/l/p). Poids env. 0,7 kg.
Il était considéré comme le fils d'Osiris et de la déesse protectrice Nephthys. Moulage d'art en polymère. Format 17 x 11 x 11 cm (h/l/p). Poids 0,3 kg.
Le visage du dernier pharaon de la 26e dynastie de l'Egypte ancienne, Psammétique III - ici sous la forme marquante du dieu Osiris, dans le style de l'époque saïte - , impressionne par son charme royal et sa douce sérénité. Original : ardoise, Égypte, Nouvel Empire, 26e dynastie, 664-596 av. J.-C., Musée du Louvre, Paris. Réplique en résine patinée à la main, sur socle en marbre. Avec certificat d'authenticité. Format, socle inclus, 32 x 9,5 x 18 cm (h/l/p). Poids env. 3,5 kg.
Ce fragment de tête, qui appartenait à l'origine à une paire de statues représentant le pharaon accompagné d'une divinité, montre le jeune souverain aux traits fins et les restes d'un décor de serpents uræus dressés sur le front.Original : granit gris, Egypte, Nouvel Empire, XVIIIe dynastie, Musée d'Aquitaine, Bordeaux.Réplique en résine satinée à la main, sur socle en bois noir. Avec certificat d'authenticité. Format, socle compris : 19 x 15 x 10 cm (h/l/p). Poids env. 1,5 kg.
Ce torse féminin enveloppé d'une robe fluide est attribué à Néfertiti, l'épouse du pharaon Akhenaton. Original : grès, Egypte, Nouvel Empire, env. 1365-1349 av. J.-C. Musée du Louvre, Paris. Réplique en résine patinée à la main, sur socle. Avec certificat d'authenticité. Format, socle compris : 31,5 x 13 x 12 cm (h/l/p). Poids env. 2,8 kg.
Le roi, défenseur de la sécurité intérieure et extérieure, tue l'ennemi des hommes et des dieux. Il se tient gracieusement debout sur le léger rhinocéros en papyrus. Le pas en avant, le bras levé, montrent le moment de tension maximale, juste avant que le harpon ne frappe. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Original : Musée égyptien, Le Caire, Trésor de Toutankhamon.Modèle sculpté en polymère doré à la main. Hauteur, y compris le nez en papyrus et le socle en bois : 82 cm.
Dans la posture classique du lettré, le fonctionnaire est assis sur une base rectangulaire et regarde, la tête légèrement inclinée, son rouleau de papyrus sur lequel il a écrit. A côté de lui, le dieu de la sagesse Thot, patron de tous les scribes, trône sous la forme d'un babouin sur un piédestal surélevé, devant lequel se trouve une plaque d'offrande. Original : Musée du Louvre, Paris. Ardoise, Egypte, Nouvel Empire, 19e dynastie, vers 1370 av. J.-C. Réplique en 2 parties en résine patinée à la main. Avec certificat d'authenticité. Format 19 x 20 x 8 cm (h/l/p). Poids env. 1,7 kg.
Rêvant de sa future gloire, le futur souverain d'un empire mondial est assis sur un coussin confortable. Il est élégamment vêtu et paré d'une précieuse boucle d'oreille, d'un diadème royal et d'un uræus. Ses cheveux apparaissent comme une mèche de prince soigneusement tressée, indiquant son statut et sa jeunesse.Original : pierre calcaire, Egypte, 19e dynastie, 1290 av. J.-C., Musée du Louvre, Paris.Réplique en résine satinée à la main, sur un socle en bois noir. Avec certificat d'authenticité. Format, socle compris : 19 x 15 x 5 cm (h/l/p). Poids env. 1,1 kg.
Les Égyptiens appelaient "maître de la vie" le serpent créateur de la terre à deux têtes et cinq anneaux. Les serpents jouaient un rôle important dans les croyances des dieux. Ils excitaient l'imagination par le caractère mystérieux et dangereux de leur nature. La mue annuelle était considérée comme le symbole du rajeunissement et de la renaissance éternels.Original : Musée national, Varsovie. Époque ptolémaïque, vers 200 av. J.-C. Moulage en métal patiné vert clair. Hauteur avec socle 6 cm.
Je suis tout ce qui a été, tout ce qui est et tout ce qui sera...', c'est ainsi qu'une inscription sur l'une de ses innombrables statues caractérise les 'royaumes magiques' et la 'déesse aux 10.000 noms'. Pour les Égyptiens, elle était avant tout la déesse de la mère, de la femme et de la naissance. Elle était considérée comme la mère des dieux et la déesse protectrice du pharaon régnant. Cette figure était l'une des quatre déesses protectrices qui gardaient le sanctuaire contenant les entrailles de Toutânkhamon momifié. Les déesses étaient censées protéger le pharaon dans l'au-delà et écarter les dangers qui le guettaient. La châsse contenant les déesses a été découverte dans une pièce située juste à côté de la chambre du cercueil. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Original : Musée égyptien, Le Caire, Trésor de Toutankhamon.Modèle sculpté en polymère doré à la main. Hauteur avec socle en bois 45 cm. Avec certificat.
Épouse du pharaon Aménophis III et mère d'Akhenaton. C'est sous le règne de ce couple de souverains que l'Egypte connut sa plus grande prospérité. Egypte, 18e dynastie, vers 1360 av. J.-C. Original : Staatliche Museen Preußischer Kulturbesitz, Berlin.Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main. Hauteur avec socle 19 cm. Socle 5 x 5 x 8 cm.
Lorsqu'Aménophis IV est monté sur le trône d'Égypte, les habitants de l'Égypte ancienne croyaient en d'innombrables divinités. Après quelques années de règne, le pharaon, qui avait épousé Néfertiti, décida de désigner un nouveau dieu unique pour son pays. Le culte du dieu solaire Aton était né, une manifestation de Re qui symboliserait le disque solaire, source de toute vie. Amenophis IV interdit à son peuple de croire aux anciens dieux et s'appela désormais Akhenaton ('qui plaît à Aton'). Pour le nouveau dieu Aton, l'ancienne capitale Thèbes fut abandonnée en tant que siège de la cour royale et la nouvelle et brillante ville résidentielle d'Akhet-Aton fut fondée. Dans 'l'horizon d'Aton', l'actuelle Amarna, de magnifiques temples furent construits en plein air pour accueillir les rayons bénéfiques du soleil d'Aton. La nouvelle religion signifiait pour les habitants de l'Égypte ancienne l'abandon de leur croyance en la survie après la mort sur la terre bénie de l'ouest. Là où le soleil se couchait, Aton, en tant que créateur de la vie, ne pouvait pas exister et ne pouvait pas ressusciter les défunts. La perte de cette importante base de croyance divisa la population en deux groupes. De violents troubles ont éclaté entre les partisans et les adversaires du nouveau culte d'Aton, le dieu du soleil. Ce n'est qu'après la mort du pharaon que l'ancienne religion a retrouvé ses origines sous le fils d'Akhenaton, Toutankhamon. Peu de pharaons ont autant fasciné et influencé leurs contemporains et la postérité qu'Akhenaton. Tête de portrait du souverain avec couronne posée. Original : Museum August Kestner Hanovre. 18e dynastie, vers 1360 av. J.-C., Amarna. Réduction en 2 parties comme réplique polymère de musée ars mundi, coulée à la main. Hauteur avec le socle : 23,5 cm.
Parmi les œuvres les plus originales des sculpteurs d'Amarna figurent les têtes de princesses taillées dans du quartzite, qui se distinguent par la forme démesurément allongée de leur crâne. Les tentatives d'explications médicales sont ici vouées à l'échec. Par leur expression expressive, ces têtes témoignent du nouveau courant artistique sous Akhenaton. Original : quartzite, Musée égyptien, Le Caire. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1350 av. J.-C.Réplique polymère ars mundi du musée, coulée à la main, hauteur avec socle en calcaire coquillier 26 cm.
La tête de roi brisée par un sphinx peut être attribuée à Aménophis II sur la base de critères stylistiques. Entourés du foulard rayé de Némés avec l'uræus frontal, les traits juvéniles du visage de ce roi, qui a siégé près de 40 ans sur le trône pharaonique, fascinent. Original : Musée du Louvre, Paris. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1390 av. J.-C., pierre. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main, hauteur avec socle en marbre 32 cm.
Le monde entier a vibré lorsque Howard Carter a finalement annoncé le 4 novembre 1922 la découverte de la tombe intacte de Toutânkhamon. Et le résultat fut époustouflant : plus de 5.000 objets individuels, de magnifiques objets funéraires en or pur, mais surtout le légendaire masque mortuaire du jeune pharaon furent la récompense d'efforts considérables. La momie de Toutankhamon, entièrement bandée de bandelettes de lin, portait ce masque en or pur sur la tête et les épaules. Faites entrer l'aura de l'Égypte dans votre maison avec une réplique de haute qualité et très détaillée du masque. Original : Musée égyptien, Le Caire, Trésor de Toutankhamon. Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main ; peinte et dorée à la main. Format 54 x 41 x 41 cm (h/l/p). Poids : 11 kg. Travail entièrement tridimensionnel.
Parmi les objets funéraires les plus importants figuraient les "ouchebtis", de petites figurines qui, après avoir récité le chapitre correspondant du Livre des Morts, devaient effectuer les travaux des champs pour le défunt dans l'au-delà. Pour ce faire, ils tiennent dans leurs mains croisées leurs outils, généralement une houe et une serpe, tandis qu'un panier est suspendu à leur épaule.Original : British Museum, Londres. Egypte, période tardive, 26e dynastie, vers 600 av. J.-C. Faïence bleue, hauteur avec socle en marbre 20 cm.
Depuis le Moyen Empire, de petites figurines ont été déposées dans la tombe des défunts afin d'effectuer les travaux des champs à leur place dans l'au-delà. Avec la 18e dynastie, cette coutume a également été adoptée pour le décor des tombes royales. Parmi la masse des 413 ushebtis de la tombe de Toutankhamon, un petit groupe se distingue nettement par sa taille et sa réalisation artistique : Les Uschebtis dits d'apparat. Notre exemple montre le roi avec la couronne bleue et les insignes de la crosse et du fléau dans les mains croisées. L'inscription reproduit les six chapitres du Livre des Morts égyptien. Original : Musée égyptien, Le Caire. Trésor funéraire de Toutankhamon. Egypte, Nouvel Empire, 18e dynastie, vers 1335 av. J.-C. Réplique polymère de musée ars mundi coulée à la main ; recouverte de feuilles d'or (dorure partielle), hauteur avec le socle 55 cm.