L'évêque Eusèbe a mis en garde contre la déesse de l'amour qui incite à des pratiques non chrétiennes. C'est pour elle et pour le roi bithynien Nicomède Ier que Doidalses a inventé cette variante : la tête tournée sur le côté, elle s'accroupit pour se faire asperger d'eau de bain après avoir fait l'amour toute la nuit. La composition triangulaire est également une incarnation raffinée de son initiale sacrée, le A phénico-grec d'Astarté-Aphrodite. Original : Musée du Vatican, Rome. Hellénistique, 3e s. av. J.-C. ; copie romaine d'après Doidalses, marbre. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main. Format 28 x 53 x 19 cm (L/H/P).
Aphrodite sicilienne de Syracuse, fabriquée à la main avec beaucoup de soin, hellénistique, 240-200 av. J.-C. L'original se trouve au Musée national de Naples. Réduction en fonte de pierre de haute qualité, résistante aux intempéries. Format 35 x 94 cm (l/h). Poids env. 40 kg.
Aucun autre fragment de sculpture antique n'a fait l'objet d'autant d'éloges au fil des siècles. De Michel-Ange à Rodin, nombre des plus grands artistes se sont penchés sur le torse. C'est en collaboration avec la Glyptothèque de Munich qu'a été réalisée cette édition spéciale du torse, que nous pouvons vous proposer à un prix exceptionnel. Original : 1er siècle av. J.-C., hauteur 159 cm. Vatican, Museo Pio-Clementino, Sala delle Muse. En marbre. Réduction. Réplique polymère ars mundi du musée, moulée à la main, avec socle en diabase. Hauteur totale 35 cm, socle 16 x 15 x 4 cm.
Le cheval de bataille légendaire d'Alexandre le Grand dans une pose majestueuse. Original : Musée du Louvre, Paris, marbre. Vers 300 av. J.-C., hellénistique. Réplique polymère de musée ars mundi, moulée à la main, format 29 x 22 x 6 cm, avec dispositif de suspension.
Aujourd'hui encore, les médecins prêtent le serment que, selon la légende, le 'père originel' de tous les médecins faisait prêter à ses élèves. Il était 'spécialiste' des luxations, des blessures sportives et des blessures de guerre. Mais ce sont surtout ses activités de chercheur et d'enseignant qui font de lui une figure lumineuse de l'histoire. L'original : Musée national de Naples, copie romaine, marbre. Réplique polymère de musée ars mundi, moulée à la main. Format, socle compris : 21 x 10 x 11 cm (h/l/p).
La sculpture du conducteur de char est l'une des œuvres les plus célèbres de l'art grec. Les historiens de l'art estiment qu'elle fait partie d'un attelage de quatre chevaux offert par Hieron de Syracuse au sanctuaire d'Apollon en guise de cadeau de consécration. Original : Musée, Delphes, début de l'époque classique, vers 475 av. J.-C. Bronze, coulé à la main selon le procédé de la cire perdue. Patine verte antique. Réplique de musée ars mundi. Réduction. Hauteur, socle en marbre inclus, 34 cm.
La sculpture du conducteur de char est l'une des œuvres les plus célèbres de l'art grec. Les historiens de l'art estiment qu'elle fait partie d'un attelage de quatre chevaux offert par Hiéron de Syracuse au sanctuaire d'Apollon en guise de cadeau de consécration. Original : musée, Delphes, début de l'ère classique, vers 475 av. J.-C. Réplique polymère ars mundi du musée, coulée à la main. Réduction . Peint à la main et finement patiné. Hauteur, socle en marbre inclus : env. 34 cm.
L'original du disque illustré ici a été créé en 1650 av. J.-C. et a été retrouvé en 1908 dans le palais minoen de Phaistos. L'écriture est composée de 45 hiéroglyphes qui se lisent dans le sens des aiguilles d'une montre.Original : Musée archéologique d'Héraklion, Crète. Diamètre : 15 cm.
Cette plaque d'écriture contenant 45 caractères crétois anciens a longtemps échappé à toutes les tentatives de décryptage. Aujourd'hui, de nombreux chercheurs pensent qu'il s'agit de formules mystiques de deux sanctuaires. L'original : Musée archéologique d'Héraklion, Crète. Minoenne, vers 1650 av. J.-C., céramique. Hauteur y compris le socle 18 cm. Diamètre 16 cm.
Cela s'est passé le 16 août 1972 sur la côte calabraise, non loin du détroit entre l'Italie continentale et la Sicile : le plongeur sportif italien Stefano Mariottini est tombé par hasard sur un bras, un genou et des orteils qui dépassaient du sable en vert foncé à 8 mètres de profondeur. Des hommes-grenouilles de Messine ont récupéré quelques jours plus tard les deux statues de bronze de près de 2 m de haut, parfaitement intactes, à l'aide d'un ballon gonflé d'air. Les statues des deux héros grecs dévêtus étaient probablement en route pour Rome, où l'art grec était très prisé à l'époque romaine, lorsque leur navire a fait naufrage près de Riace. Autrefois, ils portaient des boucliers, des lances ou des épées. Le génial sculpteur Phidias est considéré comme leur créateur. Lorsque, après 7 longues années, les bronzes furent libérés de leurs incrustations calcaires, ils suscitèrent l'admiration d'un million de personnes à Florence. Sur leur 2e lieu d'exposition, le palais du Quirinal à Rome, le record de visiteurs a encore été battu. La beauté et l'expression artistique des Héros de Riace sont uniques. Ils sont des représentations coulées dans le bronze de l'idéal grec de l'harmonie entre le corps et l'esprit. Original vers 452 av. J.-C., au Museo Reggio di Calabria. Réduction. Réplique polymère ars mundi du musée, coulée à la main. Avec une fine patine de bronze. Sur socle en diabase, format 15 x 15 x 5 cm, hauteur avec socle env. 51 cm.
Hermès, le messager des dieux, était le dieu protecteur des commerçants et des voyageurs. Ce fragment d'une statue monumentale disparue d'Hermès attire le regard - et constitue un butoir de porte aussi amusant que décoratif.Original : British Museum, Londres. Grèce, époque hellénistique classique, env. 2e s. av. J.-C. Réplique polymère de musée ars mundi, moulée à la main. Format 35 x 17 cm. Poids 5 kg.
La volonté de puissance est inscrite sur le front sublime de ce jeune homme titanesque aux cheveux bouclés, au regard lointain, aux lèvres ouvertes et désirables et au menton énergique. Alexandre n'avait que 20 ans lorsqu'il prit la succession de son père. Au cours des années qui suivirent, il conquit le plus grand empire qui ait jamais existé. Original : British Museum de Londres. Léocharès. Vers 338 av. J.-C., en marbre. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main. Hauteur avec socle en marbre anthracite 49 cm.
Le sculpteur attique Léocharès (375-310 av. J.-C.), qui a contribué à l'achèvement du mausolée d'Halicarnasse, l'une des sept merveilles du monde antique, a réalisé l'idéal de l'olympien héroïque semblable à un dieu avec l''Ephèbe en prière'. Dans le quartier sacré de Diadouménos, près d'Olympie, l'éclat du feu éternel tombait sur le jeune homme couronné du bandeau de la victoire. Levant les bras bien au-dessus de sa tête, il invoque la bénédiction des immortels. Original : Bronze, Staatliche Museen Preußischer Kulturbesitz Berlin, Pergamonmuseum. Léocharès, vers 320 av. J.-C. Réplique polymère ars mundi du musée, coulée à la main et patinée à la main. Réduction, hauteur environ 75 cm.
Le sculpteur attique Léocharès (375-310 av. J.-C.), qui a contribué à l'achèvement du mausolée d'Halicarnasse, l'une des sept merveilles du monde antique, a réalisé l'idéal de l'olympien héroïque semblable à un dieu avec l''Ephèbe en prière'. Dans le quartier sacré de Diadouménos, près d'Olympie, l'éclat du feu éternel tombait sur le jeune homme couronné du bandeau de la victoire. Levant les bras bien au-dessus de sa tête, il invoque la bénédiction des immortels. Original : Bronze, Staatliche Museen Preußischer Kulturbesitz Berlin, Pergamonmuseum. Léocharès, vers 320 av. J.-C. Réduction, hauteur y compris le socle carré 75 cm. Dimensions du socle env. 7 x 18 x 17 cm (h/l/p). Version en marbre artificiel blanc lié au polymère.
Le sculpteur attique Léocharès (375-310 av. J.-C.), qui a contribué à l'achèvement du mausolée d'Halicarnasse, l'une des sept merveilles du monde antique, a réalisé l'idéal de l'olympien héroïque semblable à un dieu avec l''Ephèbe en prière'. Dans le quartier sacré de Diadouménos, près d'Olympie, l'éclat du feu éternel tombait sur le jeune homme couronné du bandeau de la victoire. Levant les bras bien au-dessus de sa tête, il invoque la bénédiction des immortels. Original : Bronze, Staatliche Museen Preußischer Kulturbesitz Berlin, Pergamonmuseum. Léocharès, vers 320 av. J.-C. Edition en bronze. En taille originale 139 cm. Poids : environ 80 kg.
Admirés depuis deux millénaires, les chevaux de bronze dorés d'un quadrige grec de la fin de l'âge classique ornaient autrefois la loge impériale de l'hippodrome à Byzance. En 1204, les guerriers saints vénitiens du doge Enrico les ont ramenés dans la ville lagunaire comme butin de la quatrième croisade. Lorsqu'ils furent hissés devant la cathédrale Saint-Marc et prirent place au-dessus du portail principal, au milieu de la façade de l'église, un enthousiasme sans limite s'empara des badauds sur la place Saint-Marc. Entre-temps, les chevaux ont beaucoup voyagé : une tournée internationale les a également conduits à Berlin. Réduction, d'après les chevaux de bronze originaux du Museo Marciano à San Marco, Venise. Réplique polymère de musée ars mundi coulée à la main ; avec surface bronzée, patinée à la main et partiellement dorée. Longueur de chaque pièce : 26 cm. Poids : 2,6 kg.
Admirés depuis deux millénaires, les chevaux de bronze dorés d'un quadrige grec de la fin de l'âge classique ornaient autrefois la loge impériale de l'hippodrome à Byzance. En 1204, les guerriers saints vénitiens du doge Enrico les ont ramenés dans la ville lagunaire comme butin de la quatrième croisade. Lorsqu'ils furent hissés devant la cathédrale Saint-Marc et prirent place au-dessus du portail principal, au milieu de la façade de l'église, un enthousiasme sans limite s'empara des badauds sur la place Saint-Marc. Entre-temps, les chevaux ont beaucoup voyagé : une tournée internationale les a également conduits à Berlin. Réduction, d'après les chevaux de bronze originaux du Museo Marciano à San Marco, Venise. Réplique polymère de musée ars mundi coulée à la main avec surface bronzée ; patinée à la main et partiellement dorée. Longueur : 26 cm. Poids 2,6 kg.
Admirés depuis deux millénaires, les chevaux de bronze dorés d'un quadrige grec de la fin de l'âge classique ornaient autrefois la loge impériale de l'hippodrome à Byzance. En 1204, les guerriers saints vénitiens du doge Enrico les ont ramenés dans la ville lagunaire comme butin de la quatrième croisade. Lorsqu'ils furent hissés devant la cathédrale Saint-Marc et prirent place au-dessus du portail principal, au milieu de la façade de l'église, un enthousiasme sans limite s'empara des badauds sur la place Saint-Marc. Entre-temps, les chevaux ont beaucoup voyagé : une tournée internationale les a également conduits à Berlin. Réduction, d'après les chevaux de bronze originaux du Museo Marciano à San Marco, Venise. Réplique polymère ars mundi du musée, coulée à la main avec une surface bronzée, patinée à la main et partiellement dorée. Longueur 26 cm. Poids 2,6 kg.
Certes, le fils d'Apollon avait adouci les Enfers par ses chants et ses jeux pédagogiques, et lui avait rendu son épouse nympho, mais au bout du chemin, alors que l'on aperçoit déjà la lueur de la lumière, il se retourne vers elle, submergé par l'amour. Il enfreint ainsi le commandement des dieux, et même Hermès, qui s'est précipité, ne peut empêcher leur disparition dans les ombres. Original : Staatliche Museen zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz. Attique, vers 410 av. J.-C., copie romaine d'un original attribué à Phidias, marbre. Réplique polymère du musée ars mundi moulée à la main. Format 52 x 62 cm, avec dispositif de suspension.
Avec Skopas et Lysipp, l'Athénien Praxitèle est considéré comme le sculpteur le plus important de la fin de l'époque classique. L'artiste entoure ses statues d'un voile de calme et de réflexion qui éloigne étrangement les personnages, tandis que le spectateur, témoin de cet isolement, est inclus dans le champ d'action de l'œuvre d'art. Les originaux de ses œuvres ont été perdus et seraient irrémédiablement perdus si les Romains de l'Antiquité ne s'en étaient pas fait des répliques. Mais c'est alors qu'une découverte unique a bouleversé la postérité : des pêcheurs grecs ont repêché dans la mer près de Marathon une statue de jeune homme d'une beauté incomparable, que l'on peut sans aucun doute attribuer à Praxitèle. L'original : Musée national archéologique d'Athènes. Praxitèle, attique, vers 330 av. J.-C. Réduction. Fonte d'art patinée à la main avec socle en pierre naturelle. Hauteur avec socle 68 cm. Poids env. 12 kg.
Avec le trio Skopas, Praxitèle et Lysippe, le 'beau style' de la fin du classicisme grec a vu le jour. Dans ses sculptures, Praxitèle évite tout ce qui est héroïque et titanesque ; même ses dieux, sculptés avec virtuosité, apparaissent sous une forme humaine et aimable. Ses célèbres originaux, tels que l'"Aphrodite de Cnide", l'"Hermès d'Olympie", l'"Attrapeur de lézards" et le "Satyre versant", ont été irrémédiablement perdus, mais des répliques romaines les évoquent encore. Mais une découverte unique a bouleversé le monde de l'art : des pêcheurs grecs ont retrouvé près de Marathon une statue de jeune homme d'une beauté incomparable, que l'on peut attribuer presque sans aucun doute à Praxitèle. C'est sans doute Hermès lui-même qui ravit ici la postérité et nous associe à l'heureuse quiétude de son existence élyséenne. L'original : Musée national archéologique d'Athènes. Praxitèle, attique, vers 330 av. J.-C. Bronze d'art. Hauteur avec socle en marbre 36 cm.
Le cheval et le cavalier étaient des motifs particulièrement appréciés dans la Grèce classique. La représentation détaillée avec l'individualité incomparable du profil est déjà clairement hellénistique. Trouvé à Rhodes, 100 ans avant J.-C., en marbre. L'original est aujourd'hui accroché au MMA, New York. Réplique polymère du musée ars mundi, coulée à la main. Format env. 33 x 47 cm. Avec dispositif de suspension. Poids 7 kg.
Les trois servantes d'Aphrodite représentent la gaieté, la grâce et le bonheur. Aujourd'hui encore, ce fragment de relief marque l'idéal de beauté classique. Original : Musée du Louvre, Paris, 1er siècle av. J.-C., marbre. Réplique polymère du musée ars mundi, moulée à la main. Format 30 x 30 cm, avec dispositif de suspension.
Les servantes d'Aphrodite, synonymes de gaieté, de splendeur et de bonheur, se sont débarrassées de leur vêtement mythologique. Relief d'après la sculpture grecque originale du Louvre datant du 1er siècle avant J.-C. Réplique polymère de musée ars mundi moulée à la main. Format 40 x 40 cm, avec dispositif de suspension.